Partenaire officiel Faust Magazine
L’exaltation est une fantaisie indispensable. Pour constituer votre portrait, au gré de vos désirs, les photographes Elena Ramos et Théo Martin composent une atmosphère douce et valorisante, en harmonie avec votre caractère physique et vos souhaits de pudeur scrupuleusement respectés. Allant beaucoup plus loin que la simple séance de photographie classique, le duo propose de réaliser de véritables tableaux actuels et bohèmes. Hauts en couleurs ou en noir et blanc rétro, vous êtes lovés dans un écrin de luxe à votre image la plus gracieuse.
Des robes amples pour des allures de princesses effrontées, les plissés d’une simple étoffe ou de dentelles fines pour des coups de coeur audacieux, permettent d’oser un rendu exceptionnel avec élégance.
CÉLINE SIGNORET, CHORÉGRAPHE
MAXIMILIANO BELLIK, CONSEILLER PÉDAGOGIQUE
L’élaboration du projet d’une journée unique de photos commence par un premier échange. Les photographes écoutent et répondent aux interrogations afin de définir la forme visuelle la mieux adaptée à votre envie. Par la suite, la rencontre est programmée le matin du shooting afin de permettre de confirmer la direction artistique choisie et la constitution de la série. Ainsi, arrivés sur le lieu, coiffure et maquillage précèdent le photoshoot pendant les préparatifs de décors. Après un déjeuner sur place suivit de l’habillage, l’équipe se rassemble autour du plateau. Pendant la prise de vue, l’un des deux photographes saisi les instants de magie, pendant que l’autre vous guide pour vous placer, vous montre comment poser et prendre confiance devant l’objectif. Le boudoir photographique se conclue par le visionnage et le choix des images réalisées ensemble. Les clichés sélectionnées seront envoyés finalisés, c’est-à-dire après la retouche ajustée à chacun par la post-production.
En couple, entre amis, ou en aventurier solitaire. Une promenade courtoise au coeur de Paris vous entraîne dans un jardin, sur un pont, au détour d'un baiser salé ou d’un cocktail à bord d’une péniche. Ses monuments et ses ruelles de charme prêtent à voir et donnent à rêver. On y pose entouré d'une équipe de professionnels, composées des deux photographes et de leurs assistants, pour des conditions de confort et de sécurité optimales.
Mieux que la mode, le style. En extérieur, ce délicieux moment de romantisme à la parisienne se partage ensemble comme une madeleine saveur vanille bourbon et son croquant pomme d'amour, le tout dans un inaltérable éclat de complicité.
ELENA & EVGENII
AURÉLIE, RESPONSABLE RH
D’une discrétion professionnelle totale, Amour en Seine met les photos réalisées à votre disposition exclusivement personnelle si vous le préférez ainsi. Elles ne sont alors pas diffusées sur le site ni les plateformes et réseaux de communication digitales Amour en Seine, ni transmises à aucune autre personne.
Les photos présentes sur le site Amour en Seine ont l'aimable autorisation de leurs figurants pour représenter l’univers développé.
la dimension picturale fait éclore des corolles à fleur de peau. La délicatesse d’un bijou s’accorde à chacune pour symboliser son intériorité.
les ombres se jouent du caractère de ses volumes. Des contrastes de couleurs intenses le pare d’atours de contact.
Riches d’une originale combinaison d’expériences dans les arts plastiques et la mode, les créateurs allient leurs regards et leur perception d’une envie commune de révéler la beauté de profils variés. Hétéroclite, Elena Ramos est une artiste polymorphe au tempérament punk chic, une sélénite à la fois styliste et rédactrice du magazine féminin Faust. Son proche ami le photographe Julien Benhamou lui présente au détour d’un hasard son futur complice de formes chromatiques. Éclectique, Théo Martin est un toon tungstène, un électron pop rock au caractère impertinent, à la fois graphiste et directeur d’EDNA Studio. Le courant est branché.
Les nouveaux amis s’éclairent l’un l’autre, et partagent particulièrement le goût d’une dimension intellectuelle. Quotidiennement rassemblés autour de réflexions, ils se rapprochent d’expérimentations plastiques. Elena est contorsionniste, une discipline corporelle et chorégraphique insolite. Lorsque Théo la rencontre, il a déjà pratiqué la danse avec force d’implication, et s’intrigue de découvrir cette étrange approche du mouvement dont elle parle avec spiritualité. Elle l’initie, et particulièrement doué, il s’enchante de l’effet étonnamment réjouissant que procure cet art. Mais plus entièrement, ce qui lui plait chez elle est postural.
Atypique avec son allure de sculpture grecque et son tempérament précis, Elena ne jure esthétiquement que par le noir et blanc. C’est une introspective. Du côté de l’essentiel, son intuition est de percevoir le primordial de la personnalité, de façon directe et synthétique. Dans son écriture visuelle, des lignes fines architecturent la volupté d’êtres confiants, ensemble ou solitaires. Les portraits sont détendus, l’expression du visage et son reflet, les mains, contemplent l’enlacement de gestes sobres avec l’épure et l’habilité de la haute couture. Stellaire, une vue du ciel invite parfois au plaisir de la lévitation, comme allégorie à l’unitarité. Sa recherche inventive imagine particulièrement la composition de l’image dans une démarche de sens, l’onirisme pour phénomène existentiel. Un thème qu’elle aborde souvent avec son consort pour son enthousiasme solaire à la conversation. Badin marmouset, Théo voit le monde bleu comme une orange. C’est un extrospectif. Les couleurs insolentes le font vibrer, l’espace entre les éléments et les illusions de perspectives ciblent ses inclinations. La nature cherche le contact. Le charnel fait partie intégrante de son exploration. Touché d’un vertige de drame et d’attraction, il ose s'approcher des plis, observer la pulpe, sonder l’ombre. Crêtes, creux, bosses, dessinent de détails choisis des paysages de dunes insoupçonnées. Des silhouettes érectiles jaillissent d’encres monochromes. Du soi, du même et de l’autre, la microphotographie esquisse l’émotion. Il plonge dans ses impulsions visuelles, et trace avec délectation des adages d’abstraction.
Ensemble, ils cultivent des extrêmes et fondent des contrastes. Leur point de convergence principale : une obsession de l’image. En lames de fond, Cioran et Bach pour passions selon l’instant incantent leurs silences concentrés. Les deux acolytes décèlent de leurs connivences des énergies complémentaires, embrassant l’alliage de visions picturales. Elle le prend en photographie dans des positions de souplesse devenue pour lui délice sensitif, il la photographie dans des formes sensuelles qu’elle préservait avec d’autres. Lorsqu’il propose de faire de leur binôme une marque, elle suggère naturellement de la destiner à une clientèle moderne au delà de leur milieu underground, par ce qui les attise mutuellement, la photographie intimiste. Ils innovent de la rendre tant élégante qu’accessible à tous. Leur connaissance du corps et de son fonctionnement intuitif leur permet d’aider une personne même entièrement néophyte à se positionner physiquement et simplement devant l’objectif. Leur exigence de qualité, écrin d’un graphisme léché, empreinte les décors de distinction. Envoutés de lumière, les clients sur leurs photos posent lascivement dans des mises en scène vives. L’indolence de la tendresse en armure polycolore.
ELENA RAMOS
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